Les start-up africaines et l’impact des technologies de rupture

Les start-up africaines utilisant des technologies de rupture réussissent mieux que les autres et attirent plus de financements, selon une étude de la Société financière internationale (IFC). Toutefois, ces start-up rencontrent encore des difficultés pour obtenir des fonds par rapport à d’autres régions du monde. L’écosystème des start-up numériques en Afrique est en croissance rapide, notamment dans les secteurs de la fintech, du commerce électronique et des technologies de l’information.

BATISSEURS

D’AFRIQUE

Les centres névralgiques se trouvent principalement en Afrique du Sud, Égypte, Kenya et Nigeria. Les technologies de rupture augmentent les chances de succès et de financement, bien que l’écart soit moins marqué qu’en Amérique latine ou dans des villes pionnières comme Londres et Tokyo. L’étude utilise des données sur les brevets et les résultats d’entreprises pour évaluer l’impact des technologies de rupture sur 32 530 entreprises numériques.

Exemples de Technologies de Rupture :
Intelligence artificielle (IA) et apprentissage automatique
Blockchain et crypto-monnaies
Internet des objets (IoT)
Réalité augmentée (RA) et réalité virtuelle (RV)
5G et réseaux avancés
Biotechnologie et édition génétique
Impression 3D
Énergies renouvelables et stockage d’énergie
Robots et automatisation
Technologies de la santé numérique

Sur ce sujet, vous pouvez lire l’article Les start-up africaines qui utilisent des technologies de rupture réussissent mieux que les autres (IFC)

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